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 la viande en avons nous vraiment besoin ?

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Susy
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Susy


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MessageSujet: la viande en avons nous vraiment besoin ?   la viande en avons nous vraiment besoin ? EmptyDim 22 Juil - 13:31

Examinons quelques données scientifiques:

1. Des études ont démontré que, d'un point de vue anatomique et physiologique, l'être humain diffère de l'animal carnivore. A titre d'exemple, l'estomac de l'homme tout comme celui des herbivores est longiligne, contient peu de sels acides et de pepsine. Celui des carnivores est en forme de sac et contient dix fois plus de sels acides permettant de digérer les muscles et les os d'animaux. L'intestin de l'être humain et des herbivores est très long et d'une grande superficie, alors que celui des carnivores est court et lisse afin que la viande en putréfaction soit rapidement évacuée hors du corps. Ainsi, en absorbant de la viande, les toxines produites par le processus de putréfaction risque de surcharger les reins et provoquer la goutte, l'arthrite, le rhumatisme ou même le cancer. Le chercheur suédois Karl von Linne dit à ce sujet: "La structure de l'homme, externe et interne, comparée à celle des autres animaux, montre que les fruits et les végétaux constituent sa nourriture naturelle".


2. On s'est aperçu que les viandes cuites sont hautement cancérigènes. Un kilo de viande cuite au barbecue contient autant de benzopyrène que la fumée de 600 cigarettes.

3. En France, plus grand pays consommateur de viande en Europe, le 41% des décès annuels est imputé aux maladies du coeur, ce qui est à mettre en rapport avec les déclarations de la JAMA, citée ci-dessus.

4. Il est aujourd'hui admis que les protéines animales ne sont pas les seules complètes. Les recherches menées à l'institut Max Planck en Allemagne ou à l'institut Karolinska en Suède, ont démontré que de nombreux végétaux, fruits, légumineuses, graines et noix sont d'excellentes sources de protéines complètes. En réalité, ces protéines seraient même plus facilement assimilables que celles de la viande. Il convient de noter que l'apport journalier recommandé en protéines a été ramené de 150 gr/jour il y a vingt ans à 30-45 gr/jour actuellement, puisqu'un apport trop important de protéines réduit la réserve en énergie du corps.

5. Le tableau ci-dessous compare les caractéristiques de l'anatomie humaine, de l'animal carnivore et de l'animal herbivore:D’un point de vue anatomique et physiologique, l’être humain n’est pas fait pour manger de la viande, c’est plutôt un animal végétarien. Les carnivores sont pourvus de longues dents acérées et pointues, de grandes canines, et de griffes pour leur permettre de déchiqueter la chair de leurs proies. Chez l’humain, les incisives sont remarquablement développées, les canines réduites et les molaires ont une large surface plate pour mastiquer les aliments. La mâchoire d’un carnivore se déplace uniquement de bas en haut, afin de déchiqueter et de mordre la viande. La mâchoire de l’humain se déplace latéralement pour broyer. La salive des carnivores est acide et prévue pour la digestion des protéines animales ; elle ne contient pas de ptyaline, une enzyme qui assure la digestion des amidons. La salive des humains, au contraire, est alcaline et contient de la ptyaline pour digérer les amidons. Les intestins des carnivores mesurent trois fois la longueur de leur tronc ; ils sont très courts afin que la chair soit absorbée et expulsée avant de se putréfier et de produire des toxines. Les humains possèdent des intestins douze fois la longueur de leur tronc et ils sont destinés à conserver les aliments plus longtemps afin que tous les éléments nutritifs puissent en être extraits. Le foie d’un carnivore est capable d’éliminer dix à quinze fois plus d’acide urique que le foie d’un non-carnivore. Le foie d’un humain ne parvient à éliminer que de petites quantités d’acide urique, une substance produite par la viande, extrêmement toxique, pouvant perturber complètement l’organisme. Contrairement aux carnivores, l’humain ne dispose pas de l’urase, une enzyme permettant de décomposer l’acide urique. L’urine des carnivores est acide, celle de l’humain est alcaline. La langue des carnivores est rugueuse, celle des humains lisse. La main de l’humain est conçue pour cueillir des fruits et des légumes et non pour arracher les entrailles de la carcasse d’un cadavre animal.

la viande en avons nous vraiment besoin ? Tablea10



Il nous faut une alimentation équilibrée

Végétariens, nous absorbons quotidiennement une nourriture variée : céréales et légumineuses, légumes frais et fruits de qualité - donc non issus de l'agriculture chimique - afin justement d'assurer un bon équilibre en glucides (hydrates de carbone), protéines, lipides, vitamines et sels minéraux.
La viande, bien au contraire, déséquilibre l'alimentation par un excès de graisses saturées et de cholestérol, entrave la digestion par son manque de fibres et de vitamines et encrasse l'organisme par l'urée. A ceci s'ajoutent les résidus de l'élevage industriel : métaux lourds, pesticides, nitrates, hormones, antibiotiques et divers médicaments, tous lourds de conséquences pour la santé des animaux et de ceux qui les consomment.

L'organisme humain est adapté à l'assimilation de la viande

Pas du tout ! Contrairement aux carnivores, nous avons une bouche de petite taille, une denture faite pour mastiquer et non déchirer, incisives bien développées, molaires émoussées, une salive neutre, un estomac volumineux, un intestin long (10 mètres), un colon à replis. Toutes caractéristiques éminemment impropres à une alimentation carnée.

On a toujours mangé de la viande

Faux. La consommation moderne de viande et de sous-produits animaux est un phénomène sans précédent dans l'histoire de l'humanité. En France, la consommation de viande a augmenté de 500 % en un siècle ! Obésité, goutte et rhumatismes, maladies de cur, diabète, ostéoporose, ainsi que la plupart des cancers, maladies autrefois réservées à la minorité frappent aujourd'hui "démocratiquement" tous les consommateurs de produits animaux.

Les populations qui manquent de viande souffrent de malnutrition

Les personnes qui souffrent de malnutrition dans les pays non-industrialisés sont privées des protéines et des glucides qu'ils sont contraints de cultiver et d'exporter pour nourrir le bétail occidental. En exemple : la Thaïlande. Le manioc qui constitue la principale ressource du pays est exporté à 90 %. En conséquence, les disponibilités locales en fécules et protéines régressent alors que 50 000 enfants (pour une population de 5,1 millions d'habitants) meurent chaque année principalement de malnutrition.

Parallèlement, les pays qui ont la plus forte consommation de viande (et de sucre !) par habitant (USA, Canada, France) sont également ceux qui ont la plus haute incidence de maladies et d'accidents cardio-vasculaires, cancers et autres maladies chroniques dégénératives ou létales. Alors que les végétariens de ces mêmes pays ont deux à trois fois moins de risques de contracter l'une de ces maladies que le reste de la population : réduction de 50 % de la mortalité cardio-vasculaire et de 40 % des cancers.

Le végétarisme, d'accord pour les adultes, mais pour les enfants ?


Même si la viande contient des protéines et du fer (bien moins que beaucoup de végétaux), cela ne signifie nullement qu'ils soient assimilables et/ou bénéfiques. Nous assimilons par contre les graisses nocives de viandes. A sa période de croissance maximale, durant les premiers mois, un bébé trouve une ration de protéines suffisante dans le lait maternel qui n'en contient que 5 % : moins que la plupart des végétaux et bien moins que tous les végétariens. pauvre en magnésium, la viande contribue par ailleurs à la décalcification. La majorité (70 %) des enfants français ont des caries dès la première dentition.

Bon d'accord mais où trouver les protéines ?

Dans les pays industrialisés, nous sommes en réalité victimes d'une surconsommation de protéines à cause d'une propagande lancinante qui nous assène à longueur de temps que nous "manquons" de protéines. Même en s'abstenant de consommer aucun produit animal, notre consommation de protéines demeure supérieure à celle recommandée par l'OMS et diverses organisations mondiales de la santé, si nous nous nourrissons de céréales complètes, de légumineuses (en quantité modérée) et d'oléagineux (noix, amandes) et autres aliments végétaux. De plus, les végétariens évitent les graisses saturées et le cholestérol lourds contenus dans la viande et autres produits d'origine animale, qui surchargent le système digestif, le foie et les reins en encrassant l'organisme.

Les protéines végétales ne sont-elles pas de qualité inférieure ?


Toutes les protéines sont de même qualité. Sur la base d'expériences pseudo-scientifiques, car effectuées sur l'animal, on a longtemps voulu nous faire croire qu'il nous fallait absolument absorber les 14 acides aminés, dont se compose notre corps. Nous savons maintenant qu'il n'en est rien : notre organisme recompose les acides aminés dont il a besoin à partir de toutes les protéines ingérées. Seule la surcharge lui est néfaste. L'excès de protéines est par exemple cause de décalcification : ainsi l'ostéoporose est une maladie inconnue en Afrique.

Mais les légumes contiennent autant de substances nocives que la viande ?

Faux. Aucun fruit, légume ou céréale ne contient de cholestérol lourd ou de graisses saturées. Quant aux divers résidus de l'élevage industriel moderne, pesticides, antibiotiques, hormones de synthèse, etc. Ils s'accumulent dans les tissus gras de l'animal et dans les abats, d'où on ne peut les éliminer. Alors qu'en lavant simplement les végétaux, on se débarrasse de certains des additifs toxiques. Mais surtout, rien ne vous empêche de consommer fruits, légumes et céréales provenant de l'agriculture non chimique pour éviter ces suppléments empoisonnés. Les produits de l'agriculture organique sont, en outre, plus riches en vitamines, enzymes et sels minéraux. Encourageons ceux qui vivent avec la terre et non ceux qui la combattent !
Il faut boire du lait et manger des produits laitiers quand même ?
Surtout pas. Même non altérés par les conditions modernes de production, rarissimes voire impossible à trouver même avec le label biologique, les produits laitiers sont dangereux pour la santé de l'homme. Le lait de vache - et tous ses dérivés, beurre, crème, yaourts, fromages, glaces, etc… apporte trop de protéines et de minéraux, tout en étant carencé en lipides vraiment utiles à l'organisme humain. Le lait est impliqué dans les maladies les plus graves et les plus répandues : cancer du sein, tumeur de l'intestin, rhumatismes, polyarthrite. Les protéines du lait sont à l'origine de maladies allergiques réputés incurables comme l'asthme, ou l'eczéma, ainsi que des rhinites à répétition et toutes les infections de la sphère O.R.L. Les sucres du lait sont responsables de multiples dysfonctionnements digestifs. Les graisses provoquent diverses maladies cardio-vasculaires par encrassement artériel : infarctus du myocarde et accidents vasculaires cérébraux en particulier.

Il faut pourtant du lait pour les bébés

Pour un bébé, rien ne remplace le lait de sa mère. Le lait de vache est très différent du lait de femme. Par sa teneur en graisses et en sodium, il constitue un facteur d'hypertension précoce, induit le diabète précoce (que l'on prétend héréditaire) et provoque des carences en fer. On se souvient aussi de la campagne contre Nestlé "le tueur de bébés" qui, en imposant les laits "maternisés" auprès des populations mal informées des pays non industrialisés, a fait mourir des millions de nourrissons littéralement vidés, par des diarrhées à répétition, comme l'a dénoncé l'OMS.

Et le calcium alors ?

Ah ! le mythe du calcium. Si vous avez déjà eu la sagesse d'éliminer la viande car l'excès de graisses et de protéines est défavorable à l'assimilation du calcium, vous n'aurez pas de difficultés à assurer votre apport calcique quotidien avec tous les légumes verts, choux et brocolis par exemple, les fruits secs, figues surtout, les graines oléagineuses, notamment sésame, amande, ainsi que les algues, spiruline par exemple : le soja sous forme de "tofu".
Dans les végétaux, le calcium est associé à d'autres minéraux qui en favorisent l'assimilation, ce qui n'est pas le cas des produits laitiers. Il est essentiel pour l'organisme que le pH du sang demeure neutre. Ainsi, si un régime contient trop d'éléments acidifiants (viande, poisson, produits laitiers, ufs, sucre et farines raffinées), l'organisme retire le calcium des os et s'en sert comme d'un minéral alcalin pour équilibrer le pH sanguin. L'homme est le seul mammifère à consommer le lait d'une autre espèce et à l'âge adulte. Actuellement, des instituts de recherche financés par l'industrie laitière lancent plusieurs études pour valider la consommation de produits laitiers. Ces études sont effectuées sur des sujets à l'alimentation carencée au départ, et tiennent compte pour leurs résultats de paramètres ponctuels, qui ne reflètent pas la qualité de la fixation osseuse.

Il n'est pas nécessaire de tuer un animal pour avoir du lait

Pas de lait sans veau ! Pour produire aujourd'hui ses 4 000 à 6 000 litres de lait annuels, la vache est en lactation 10 mois par an, met bas tous les 9 mois pour être inséminée artificiellement 3 mois après chaque vêlage. Son veau lui est retiré quelques heures ou quelques jours après la naissance. Si c'est un mâle, il sera abattu après quelques semaines de claustration dans l'obscurité et de nourriture volontairement carencée pour produire le veau anémique blanc à souhait. Si c'est une femelle, elle produira du lait pour finir de toute façon à l'abattoir (l'industrie de la viande de "beuf" s'approvisionne à 70% dans la vache laitière "recyclée") au terme d'une exploitation intensive où les supplémentassions d'hormones (stradiol, progestérone, testostérone ainsi que le célèbre DES !) jouent un rôle grandissant, qu'elles soient interdites ou non. Derrière chaque tasse de lait, se cachent une côte de veau et une côte de beuf.

Les plantes aussi sont vivantes

C'est pourquoi toute personne sensible à la souffrance des plantes se doit d'être végétarienne : elle ne consommerait qu'une quantité de végétaux infime si on la compare à celle qu'exige la production de nutriments carnés ou laitiers. En consommant des végétaux cultivés non chimiquement, on s'assurera en outre que les plantes à utiliser ne sont ni malades, ni forcées, ni modifiées génétiquement. Et d'ailleurs, que faites-vous pour améliorer le sort des plantes ?
Pourquoi les autorités médicales et gouvernementales ne préconisent-elles pas une alimentation végétarienne ?

Mais elles le font discrètement, budget publicitaire oblige. Les journaux médicaux sont remplis d'études sur les bienfaits des fibres, des vitamines, des graisses végétales, etc et les méfaits des graisses animales saturées, de l'urée et des graisses. Dès 1977, une commission sénatoriale sur la nutrition conseillait aux Américains de diminuer leur consommation de viande et de produits laitiers et d'augmenter leur consommation de fruits, légumes et céréales complètes. Depuis plus de quarante ans déjà, des médecins et des associations d'environnement et de santé clament l'aberration de l'élevage. Nos gouvernements qui prêtent tous une oreille complaisante aux désirs de l'industrie de l'élevage, n'ont pas eu ce courage, malgré le déficit croissant de la Sécurité sociale.
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